Je te toise avec dédain en entrant dans un buisson.
Les raides cheveux dressés dans le vent.
La frêle amarré au bois touffu.
Un geste nouveau suffisait à me confondre.
Le ferme regard de l inconnue.
Amitié, hargneuse rival,
Ingrate,puissance sereine reconnue.
Donnant son aval pour une fructueuse gymnastique,
je me tenait bouddhique, suçant sa fine champagne
avec une application de nourrisson.
Accourt, brusque frémissement.
J'ai reçu la rosée et traduit l'avarice de ton air reposée.
Je me suis barrée, avalant ce goût amer,
sans déchoir comme une beauté rare.
Rengorgé tu paradais.
Je me suis marré, trimbaler ce goût de mer
sur mon perchoir,
la fanfare qui jouai des faux airs dans mon périnée,
me poussant au paradis.
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